A Roubaix (Nord), Nicole Monsila a ouvert son salon de coiffure grâce au micro crédit. Elle n’a pas reçu d’argent des banques, qui refusaient son dossier faute d’apport. L’association pour le droit à l’initiative économique (ADIE) lui accorde alors un premier prêt de 4 000 euros pour qu’elle crée son entreprise.